1. |
Uluru
11:09
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Éternel solitaire
Tu observes sans un son
Ton ombre éclaire
Un passé sans fond
Tu es digne comme une mère
Mais stérile à jamais
Le silence est ton hymne
Et enferme ton secret
Nos vils va-et-vient
Qui nous prennent toute une vie
Glissent comme des secondes
Sur ta peau de jeune fille
Quand notre chair putréfiée
Dans quelques instants
Deviendra de nouveau pierre
Et notre âme cristal
Quand la mer sera terre
Et l’Afrique gelée
Tu cligneras de ton œil
Et tu resteras muet
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2. |
I worry
09:45
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I worry
About this silent enemy
Face down, up and down again
Working on, travelling back
No pity through these eyes
Dancing on the listening feather
I worry
About fading friends
And the never seen family
They vanish, we never met
Do I worry enough ?
Do I ever worry enough ?
Black, light, it's dark again
Lost time, lost souls
I worry and smile again.
It is what it could have been
I worry, why, I slip and fail
Blind can walk, fall, and walk again
I worry
When mornings and dawns
But the night
But the night
But the night
But the night
But the night
But the night
But the night
But the night
But the night
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3. |
Ностальгия
09:42
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И небо есть у нас другое,
И горы, и река, и день.
Мы в бесконечные просторы
Глядим открытым сердцем всем.
Ностальгия грудью нас своею кормит
И память мы сосём как мёд
И помним как цельны мы были
И сколько не были спустя
А грусть нам вечная подруга,
Сидит и шепчит - как тяжело,
Что безнадёжная разлука
Единый исход из всего
Но в тишине всплывает небо
И горы, и река, и день
И бесконечные просторы
И сердцу както по родней
Ты ностальгия, ты мать, ты правда
Ты помнишь всё, ты в свет ступень.
Ты солнце, посвети мгновенье
Чтоб сделать шаг не провалившись в тень
Nous avons aussi un autre ciel
D'autres montagnes, une autre rivière, un autre jour
Nous regardons vers d'infinies étendues
Avec le coeur grand ouvert
La nostalgie nous nourrit de son sein
Et nous tétons la mémoire comme du miel
Nous nous souvenons à quel point nous étions entiers
Et combien nous ne l'avons plus été depuis
La tristesse, notre éternelle amie
Est assise à nos côtés et nous murmure à quel point c'est dur
Que la séparation irrémédiable
Est l'unique issue de tout
Mais du silence émerge le ciel
Les montagnes, la rivière, le jour
Les étendues infinies
Et le coeur s'y sent davantage au bercail
Toi la nostalgie, toi la mère, toi la vérité
Tu te souviens de tout, tu es un échelon vers la lumière
Toi le soleil, éclaire un instant
Pour que je fasse un pas sans glisser dans l'ombre
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4. |
L'être et son ombre
06:20
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5. |
Torture
12:56
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HGU Liège, Belgium
Paysage à perte de vue ou roc escarpé, la grosse musique de HGU est un décor qui prend vie. A visiter en errance ou les yeux
fermés. Périple immobile. Récit lancé dans l'atmosphère. Il y a de la masse minérale, la braise et la forge, et le vent qui attise. HGU est un horizon où la tempête de rouille côtoie l'azur et l'éclat.
HGU se prononce comme ça s'écrit et s'écoute comme ça s'entend.
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